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DANS UNE CITÉ UNIVERSITAIRE. Louise : Bonjour, est-ce que Benoît est là ? Pierre : Non, il n’est pas là. Il est à l’infirmerie, je crois. Louise : Ah bon ? Il est malade ? Pierre : Oui, il est malade, fatigué, déprimé... Louise : Qu’est-ce qu’il a ? Il a des problèmes ? Pierre : Ah... Des problèmes avec les femmes... Louise : Avec les femmes ? Alors, il est amoureux ! Pierre : Benoît, amoureux ? Peut-être... Louise : Ah, les hommes... Ils sont vraiment compliqués ! Ils ont toujours des problèmes ! Pierre : Mais pas du tout ! Les hommes ne sont pas compliqués ! Louise : Vraiment ? Bon, où sont Raphaël et Bertrand ? Pierre : Je ne sais pas. Ils ne sont pas là... (Quelques minutes plus tard.) Bertrand et Raphaël : Je suis désolé, on est en retard ! Louise : C’est normal, vous êtes toujours en retard ! Raphaël : Et toi, bien sûr, tu es toujours à l’heure... Louise : Moi, je suis toujours en avance quand j’ai un rendez-vous. Bon... Vous avez les gâteaux, pour la fête ? Bertrand : Oui, voilà... On a aussi le vin et les jus de fruits. |
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À LA CAFÉTÉRIA. Mathilde : Oh là là, je suis fatiguée ! J’ai trop de travail ! Gabriel : Tu as encore des cours ? Mathilde : Non, je n’ai pas de cours, mais j’ai des examens, en ce moment. Et toi, tu as aussi des examens ? Gabriel : Oui, nous avons encore un examen jeudi et après, c’est fini ! Je suis en vacances ! Mathilde : Tu as de la chance... J’ai encore deux semaines de travail ! Gabriel : Ma pauvre Mathilde... Courage ! Attends, j’ai une idée : est-ce que tu es libre demain, pour dîner ? Mathilde : Non, c’est dommage, demain, je suis prise. Mais dimanche soir, je suis libre. Gabriel : D’accord pour dimanche soir ! |
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JÉRÔME ET LA GÉOGRAPHIE. Jérôme : Dis, papa, la Finlande, c’est un beau pays ? Monsieur Allard : Oui, bien sûr ! C’est un très beau pays ! Il y a des centaines de lacs et de forêts... Jérôme : Et la capitale de la Finlande, c’est Oslo ? Monsieur Allard : Quoi ? Oslo ! Mais non, ce n’est pas la capitale de la Finlande, c’est la capitale de la Norvège ! La capitale de la Finlande, c’est Helsinki ! Jérôme : Ouh... C’est difficile, la géographie ! Monsieur Allard : Mais non, ce n’est pas difficile ! Jérôme : C’est ennuyeux... Monsieur Allard : Au contraire, c’est passionnant ! C’est un vrai voyage ! Il y a des pays différents, des cultures différentes, des langues, des coutumes variées... Jérôme : Même en Europe ? Monsieur Allard : Bien sûr ! Regarde dans l’atlas. Là, il y a l’Europe... Jérôme : Il y a combien de pays, en Europe ? Monsieur Allard : Dans la Communauté européenne ? Maintenant, il y a 25 pays. Jérôme : Il y a combien de langues ? Monsieur Allard : Il y a au moins vingt langues différentes ! Le finnois, le tchèque, l’allemand, le français, l’anglais, l’italien, l’espagnol... Tu veux apprendre une langue étrangère ? Jérôme : Oui, pourquoi pas l’espagnol, c’est facile... Monsieur Allard : Non, mon garçon, l’espagnol, c’est beau, mais ce n’est pas facile... (On sonne à la porte.) Jérôme : C’est qui ? Monsieur Allard : C’est Virginie. Bonjour, Virginie ! Virginie : Bonjour, monsieur. Salut, Jérôme ! Dis-moi, ce soir, à la télé, il y a un film de science-fiction. Tu veux venir à la maison pour le voir ? Jérôme : Il n’y a pas de match, ce soir ? Virginie : Mais non, le match, c’est demain ! Alors, tu viens ? |
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ALEXANDRE TRAVAILLE ! Madame Lemonnier : Tiens, Alexandre ! Bonjour, comment allez-vous ? Alexandre : Bien, merci, et vous ? Madame Lemonnier : Bien, merci ! Alors, quoi de neuf ? Alexandre : Eh bien, je travaille, maintenant ! Je travaille comme technicien dans une société internationale. Madame Lemonnier : C’est vrai ? Ça, c’est une bonne nouvelle ! Et vous êtes content de votre travail ? Alexandre : Oui, j’aime bien mon travail, c’est intéressant. Madame Lemonnier : Si c’est une société internationale, vous parlez l’anglais, alors... Alexandre : Oui, bien sûr, je parle l’anglais, c’est indispensable, maintenant ! Madame Lemonnier : Vous travaillez beaucoup ? Alexandre : Oh, oui, je travaille énormément ! Madame Lemonnier : Excellente nouvelle, ça change un peu... Dites-moi, qu’est-ce que vous aimez, dans votre travail ? Alexandre : J’adore l’aspect technique ! Je répare des ordinateurs, je cherche des solutions techniques, je programme des logiciels... Madame Lemonnier : Vous aimez vraiment l’informatique, vous ! Moi, je déteste ça... Et vous travaillez loin d’ici ? Vous commencez tôt, le matin ? Alexandre : Non, je ne travaille pas loin d’ici. Je commence à 9 heures, comme tout le monde. Madame Lemonnier : C’est un horaire raisonnable. Vous ne déjeunez pas chez vous, je suppose ? Alexandre : Non, je déjeune à la cantine, avec mes collègues. Madame Lemonnier : Qu’est-ce que vous mangez, là-bas ? C’est bon ? Alexandre : Oh... Je mange simplement un steak, un poisson... Oui, c’est assez bon. Madame Lemonnier : Au fait, est-ce que vous jouez toujours au basket ? Alexandre : Oui, je joue au basket tous les samedis. Et je continue à faire du jogging... Et vous, vous habitez toujours dans le quartier ? Madame Lemonnier : Non, je n’habite plus ici. Maintenant, j’habite dans le nouveau quartier de la Colline. Mais je travaille toujours ici. Alexandre : Bon, eh bien, au revoir, à la prochaine fois ! Madame Lemonnier : Au revoir, Alexandre ! Bonne continuation ! |
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VOUS FAITES DU SPORT ? (Deux joggeurs dans un parc public.) Marius : Vous faites souvent du jogging ? Renaud : Oui, je fais du jogging tous les matins... Et vous ? Marius : Moi, je ne fais pas souvent de jogging. Mais je fais beaucoup de sport ! Je fais du tennis, du foot, du basket... Vous ne faites pas de tennis, par hasard ? Renaud : Si, je fais du tennis, du squash, du wolley, j’adore ça ! Et où est-ce que vous faites du tennis ? Il y a un club, dans le quartier ? je ne connais pas, je suis nouveau, ici. Marius : Oui, il y a un club, juste après le parc. Vous prenez la route, là, en face, et après il y a une base de loisirs, avec un lac. Il y a beaucoup d’activités. Renaud : Avec qui est-ce que vous faites du tennis ? Marius : Avec un voisin. Il habite dans la même rue c’est facile à organiser. Mais si vous voulez venir c’est avec plaisir ! On joue tous les samedis, sauf quand il ne fait vraiment pas beau. Renaud : Merci, c’est gentil ! Mais le samedi, c’est difficile... Mes enfants font beaucoup de sport aussi, et ils prennent des cours ce jour-là... Ma fille fait de la natation et mon fils fait du judo. Marius : Dites donc, vous êtes une famille sportive ! |
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À L’ARRÊT DE BUS. Manon : Tiens ! Frédéric ! Tu prends le bus ? Pourquoi est-ce que tu ne prends pas le métro ? Frédéric : Aujourd’hui, je prends le bus, parce que je fais des courses avec Émilie. Et toi, qu’est-ce que tu fais, ce week-end ? Tu as des projets ? Manon : Oui, nous faisons des travaux dans la maison. Nous refaisons la salle de bains. Tu imagines le travail ! Frédéric : Quel courage ! Manon : Et toi ? Tu fais quelque chose de spécial, ce week-end ? Frédéric : Rien d’intéressant ! Je fais le ménage et les courses ! Ah si, demain soir, je prends un café avec mes cousins. Ils sont très sympas. Tiens, voilà les bus. Moi, je prends le 8. Manon : Moi, je prends le 17. Allez, au revoir ! Bon week-end ! Frédéric : Bon week-end à toi aussi ! |
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TU VIENS AVEC NOUS ? Angélique : Émilie ! Salut ! Ça va ? Émilie : Oui, ça va bien, et toi ? Angélique : Ça va très bien ! Nous partons en vacances. Émilie : Quelle chance ! Où est-ce que vous allez ? Angélique : Nous allons en Italie, en Toscane. Émilie : Ah, c’est super ! Comment est-ce que vous partez ? En voiture, en train, en avion ? Angélique : On part en voiture, c’est plus agréable. On a plus de liberté pour visiter. Émilie : Où est-ce que vous allez, exactement ? Angélique : Nous allons à côté de Sienne, dans un petit village. C’est une région magnifique. Emilie : Vous allez à l’hôtel ? Angélique : Non, pas exactement, nous allons dans une petite pension en pleine campagne : une vieille maison, un jardin et une piscine... Le rêve ! Émilie : Quelle chance ! Gaspard et Margot ne viennent pas avec vous ? Angélique : Si, ils viennent avec nous, mais ils vont d’abord deux jours en Provence, pour voir la mère de Gaspard. Ils viennent en Italie juste après. Émilie : Alors, quand est-ce que vous partez ? Angélique : On part samedi matin, le plus tôt possible. Émilie : Et quand est-ce que vous revenez ? Angélique : On revient dans deux semaines. Alors, tu viens avec nous ? ! Émilie : Je voudrais bien, mais je travaille... |
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OÙ EST-CE QUE TU VAS ? Madame Rousseau : Bastien, où est-ce que tu vas ? Bastien : Je vais chez Jérôme ! Madame Rousseau : Ah bon ? Et pourquoi est-ce que tu vas chez Jérôme ? Bastien : Pour travailler la géographie. Son père est prof de géo. Madame Rousseau : Ah bon ? C’est bien. Tu ne reviens pas trop tard, hein ? Bastien : Mais non ! Je reviens pour dîner ! |
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AU CLUB DE GYM. L’employée : Bonjour, madame, je peux vous renseigner ? Véronique : Oui, je voudrais des renseignements sur votre club, s’il vous plaît. Est-ce que je peux prendre cette brochure ? L’employée : Oui, bien sûr. Qu’est-ce que vous voulez faire ? Du stretching, de la musculation, de la danse, de l’aérobic ? Véronique : Moi, je ne veux pas faire quelque chose de dur. Mais mon mari veut faire de la musculation. L’employée : Eh bien, vous avez tous les renseignements dans cette brochure. Vous pouvez voir, nous avons beaucoup de cours... Véronique : Vous avez une salle de musculation ? L’employée : Oui, bien sûr. Vous voulez voir la salle ? Venez ! (Quelques minutes plus tard.) Véronique : Ah oui, c’est très bien ! L’employée : Mais si vous ne voulez pas faire de musculation, vous pouvez faire du stretching. Regardez, c’est ici... Véronique : Ah oui, très bien ! Je dois absolument faire de la gym... Je dois perdre des kilos avant l’été ! L’employée : Ah, les femmes ! Nous sommes toutes les mêmes... Véronique : Qu’est-ce que je dois faire pour m’inscrire ? L’employée : Vous devez apporter un certificat médical et une photo d’identité, c’est tout. Véronique : Très bien. Je ne peux pas prendre un cours aujourd’hui, par hasard ? L’employée : Si, bien sûr ! Vous voulez suivre quel cours ? Véronique : Eh bien, le stretching ! L’employée : Voyons... Il est 9 h 30... Vous pouvez prendre un cours à 10 heures. En attendant, si vous voulez prendre un café, vous pouvez aller à la cafétéria, là-bas, à droite. Véronique : Merci ! Où est-ce que je peux mettre mes affaires ? L’employée : Vous pouvez mettre vos affaires au vestiaire. |
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